Préambule
Bonne année ! C’est drôle le hasard du calendrier : la semaine dernière on fêtait Noël ensemble, et aujourd’hui la nouvelle année… Il fallait marquer le coup.
Ça faisait quelques semaines que j’avais envie de te partager mes favoris « non-livresques » de 2020, et je me suis dit que c’était le bon moment. Je sais que ça fait peut-être un peu redite de l’article de la semaine dernière, mais après tout, c’est une période spéciale aussi. (Et, promis, le prochain article sera une bonne vieille chronique lecture !)
Donc, au menu aujourd’hui : des séries pour (plus ou moins) comater devant la télé après les excès d’hier soir, des thés pour se remettre de ta gueule de bois, de la musique et des vidéos si tu es du genre à prolonger la fête, et des objets et astuces de la vie quotidienne pour commencer 2021 du bon pied.
Aller, c’est parti !
Mes must have et essentiels de 2020
Séries
Cette année, confinement oblige, j’ai regardé encore plus de séries que d’habitude. Je ne peux pas toutes te les présenter ici parce qu’on y serait encore dans 3 jours, alors voici les immanquables, celles que, si tu ne les as pas vues, tu as plutôt intérêt à te rattraper !
Je te ferai à chaque fois un petit speech pour te mettre dans l’ambiance, mais comme je ne suis pas très douée pour ça, tu n’auras qu’à cliquer sur l’image de la série en question pour te téléporter directement à la bande annonce sur Youtube. Et, évidemment, je te donnerai mon avis global (en somme, toutes les raisons qui font que tu dois y foncer).
Anne with an « e »
Nous découvrons Anne, petite orpheline, qui débarque à la ferme des Pignons Verts, chez Matthew et Marilla. Le frère et la sœur sont assez surpris par l’arrivée de cette fillette alors qu’ils avaient demandé un garçon ouvrier. Si Matthew va très vite tomber sous le charme d’Anne, ce n’est pas vraiment le cas de Marilla qui se sent dépassée face à cette petite fille qui n’a pas la langue dans sa poche, à l’imagination et la joie de vivre débordantes, et qui la confronte beaucoup à elle-même.
Si je ne devais en choisir qu’une, ce serait celle-là. Anne with an « e » a marquée mon année plus que n’importe quelle autre série. Je l’ai d’abord lancée assez dubitative, en me disant que ça n’avait pas l’air bien palpitant. Et à la fin du premier épisode j’étais complètement tombée sous le charme de cette petite fille et de tous les personnages qui gravitent autour d’elle. Et, en effet, il n’y a pas beaucoup d’action à proprement parler, mais suivre Anne découvrir les méandres de la vie fut incroyablement revigorant. Il ne faut pas non plus que tu crois que cette série est seulement remplie de bons sentiments (il y en a quelques-uns, bien sûr, comme partout), elle est aussi très touchante, assez drôle, et étonnamment tragique. Une histoire complète et d’une modernité saisissante, formidablement incarnée par une belle brochette d’acteurs, notamment Amibeth McNulty dans le rôle d’Anne.
Et à tous ceux qui n’aiment pas les séries à rallonge, sachez qu’il n’y a que 3 saisons pour un total de 27 épisodes, et que la série est annoncée comme terminée, bien que la plus grande campagne jamais vue pour une série Netflix soit en cours pour demander son relancement. Je fonde beaucoup d’espoirs dedans, même si je ne veux pas être déçue. Une preuve, donc, qu’Anne with an « e » a marqué des milliers de gens qui supportent difficilement de ne plus voir Anne (moi y compris).
Murder
Wes étudie le droit à l’université de Middleton et est miraculeusement choisi parmi la liste d’attente pour avoir sa place dans le cours de la très prestigieuse et émérite professeure Keating, ténor du barreau. Il est rapidement intégré au groupe que forment quatre autres étudiants pour travailler au plus près des affaires de Keating et être ses assistants. Puis un bon dans le temps nous présente ces cinq mêmes étudiants en train d’enterrer un corps. Que s’est-il passé ?
On change complètement de registre ici puisque nous nous retrouvons plutôt face à un thriller. La saison 6 qui est sortie cette année sur Netflix a marqué la fin de Murder, que je suivais depuis 5 ans.
Je ne passerai pas par quatre chemins pour te dire que c’est une bonne série à suspens, pleine d’intrigues entremêlées et de retournement de situations. Il faut vraiment suivre et être attentif au moindre détail, ce n’est pas une série que tu peux regarder en jouant à Candy Crush. Mais c’est aussi ce que j’ai aimé : à la fin de chaque épisode je partageai mes hypothèses avec mes amis et ma famille et on pariai sur qui avait trouvé ce qu’il s’était passé. La psychologie des personnages est très bien développée et renforce cette impression d’être pris au piège que nous procure cette série. On finit par s’attacher même aux pires d’entre eux. Bref, les intrigues policières sont aussi bien menées que les intrigues personnelles et ne nous permettent pas de nous ennuyer. Même si, j’avoue, qu’au bout de 6 saisons il était temps de conclure Murder…
Good girls
Deux sœurs et leur meilleure amie sont trois mères de familles aux profils différents mais qui ont un point commun : des problèmes d’argent. Alors quoi de mieux pour remédier à la situation que d’aller braquer un supermarché avec les pistolets en plastique des enfants ? Mais elles vont rapidement se faire dépasser par la situation et devenir (malgré elles ?) des faussaires spécialistes de la fausse monnaie.
HI-LA-RAN-TE. Voilà le mot pour décrire Good Girls. Je te jure que ces trois-là sont incroyables : elles parviennent toujours à se mettre dans des situations impossibles et à sortir des répliques qui te feront pleurer de rire sur ton canapé. Et en même temps, il y a des scènes tragiques qui sont à la limite de te faire pleuvoir les yeux, et tout à coup elles se transforment en y intégrant un comique incroyable que tu n’avais absolument pas vu venir, et du coup tu ne sais plus pourquoi tu pleures. Je ne me suis jamais pris autant de fous rires qu’en regardant Good Girls. Le remède parfait pour les coups de blues, ou juste pour passer une bonne soirée.
Le jeu de la dame
Beth Harmon est envoyée en orphelinat après le suicide de sa mère. Là-bas, elle fera la connaissance du concierge qui lui apprendra à jouer aux échecs et se rendra très rapidement compte qu’elle est une prodige de la discipline. Cette série retrace son histoire pour grimper les échelons de ce monde particulier et vaincre ses nombreux démons intérieurs.
Tu ne peux pas ne pas avoir entendu parler de cette série, à moins que tu ne vives dans une grotte. Donc je suis là aujourd’hui pour te dire que si tu n’as pas encore cédé à toute la hype autour du Jeu de la Dame, il est grand temps de s’y mettre !
Je crois que je pourrais disserter dessus pendant des heures, mais je vais m’abstenir en te disant simplement que les acteurs sont nés pour jouer ces rôles, que la façon de filmer, aussi bien les décors que la colorimétrie est d’une beauté qui va te piquer les yeux. En fait, cette série réussit le pari impossible de rendre les échecs sexy et palpitants. Parce que même si comme moi et la majeure partie de la population mondiale, tu n’as jamais touché et ne t’est jamais intéressé à ce jeu, ça n’empêchera pas que tu retiennes ton souffle et que tu sois au bout de ta vie à chaque match. Les expressions faciales des personnages parlent d’elles-mêmes. Ajoutes à cela une ambiance particulière et des sujets primordiaux… Voilà toutes les raisons qui font que je ne me suis toujours pas remise de cette série.
Carnival row
Dans un monde fantastique où vivent plusieurs espèces, Philo, policier humain qui semble moins enclin au racisme ambiant, doit faire face à un tueur en série qui s’attaque à n’importe qui. En parallèle, Vignette est une fée contrainte de fuir son pays ravagé par la guerre. Elle se retrouve alors servante dans une riche maison et découvre que son amour qu’elle croyait mort est bien vivant.
Ce fut une petite surprise que je ne m’attendais pas à découvrir. Carnival Row n’explore pas seulement un monde sympathique, puisque ce monde est en réalité un prétexte pour mettre en lumière toutes les problématiques de notre monde moderne. Ainsi, des sujets comme l’exode, l’immigration, le racisme, la lutte des classes, le féminisme, la rébellion, le devoir de mémoire, la politique, ou la guerre sont traités avec beaucoup de justesse. J’ai avalé tous les épisodes de la saison 1 avec beaucoup d’entrain et sans vraiment pouvoir m’arrêter. A découvrir dès que l’occasion se présentera !
La servante écarlate
Dans un futur proche, les États-Unis sont désormais dirigés par une secte qui veut mettre fin à la plus grande crise de l’Histoire : la chute libre de la fertilité. Pour cela, les femmes encore fécondes sont divisées en deux groupes : certaines restent mères de familles, tandis que d’autres sont enrôlées de force comme servantes. Ces dernières, en plus de devoir faire les courses et aider à tenir la maison des gens au pouvoir, doivent également subir la « cérémonie » durant laquelle le maître de maison les viole. June est une de ces servantes et nous suivons son histoire.
Je l’ai terminée il y a peu, donc je ne suis pas sûre d’en être tout à fait remise, mais il fallait que je t’en parle. Je sais que tu as sûrement beaucoup entendu parler de La Servante Écarlate, mais je dois aujourd’hui avouer que c’est pour une très bonne raison.
L’une des premières choses qui m’ait frappée, c’est qu’il suffirait de pas grand-chose pour que cette fiction devienne réalité. Et je t’assure que c’est encore plus flippant de l’écrire que de le penser. Vraiment, cette histoire est à la fois une démonstration et une mise en garde. Quelque chose qui nous dirait : « Regardez ce qu’on peut faire un peu de détermination ». Créer un climat de tyrannie et de peur n’a pas été bien difficile, alors qu’y résister semble tout à fait vain. Cette série est violente, autant de manière frontale qu’induite, et pour autant ce n’est pas une série d’action mais bien plus psychologique. June est une femme prise parmi d’autres dans cette masse de domination et d’esclavagisme. Nous suivons ses sentiments et chemins de pensées, mais aussi ses petites tentatives de rébellions. Au fond, La Servante Écarlate nous dépeint la nature humaine dans tout ce qu’elle a de vil sous le point de vue d’un personnage qui cherche juste à survivre et à sauver ceux qu’elle aime, sans jamais perdre espoir. Une série fondamentalement féministe et d’utilité publique disponible à peu près partout (OCS, Salto, vidéo à la demande, …)
Thés
Je ne sais pas si je l’ai déjà dit clairement ici, mais je déteste le café et ne bois que du thé. Noir si possible et agrémenté d’une pointe de miel. Le graal.
Quoi qu’il en soit, durant les cours en distantiel du premier confinement et ceux qui ont commencé à la Toussaint, le thé à clairement fait partie des choses qui m’ont permis de tenir.
Voici donc mes quatre thés préférés de cette année. Comme précédemment, tu n’auras qu’à cliquer sur l’image pour accéder au site officiel qui commercialise le thé en question pour voir toutes les infos le concernant.
Coquelicot gourmand
Et voici mon chouchou ! Ce thé coquelicot de chez Dammann est celui que je bois tout le temps, à toutes les saisons et qui convient à toutes les occasions et à toutes mes humeurs. C’est vraiment une caresse en bouche et une saveur dont je ne me lasserai jamais. D’ailleurs, j’ai même peur d’en manquer, la preuve : j’en ai 300 grammes d’avance dans mon placard !
D’un point de vue plus technique, il est composé de framboise, cerise, violette, vanille, amande et biscuit.
C’est un des tops des ventes de chez Dammann qui met, en général, tout le monde d’accord.
Flocons d’épices
Cette année, je cherchais quelque chose qui ne soit pas un thé de Noël, parce que, même si c’est purement psychologique, je n’arrive plus à les boire une fois qu’est passé le 25 décembre. Je me suis donc tournée vers celui qui porte le doux nom de « Flocons d’épices », encore confectionné par Damman. Et qu’est-ce que j’ai bien fait !
Pour moi, c’est vraiment le thé de cet hiver : fort, puissant et revigorant, et en même temps chaleureux et enveloppant. Celui que je bois pour me réveiller et me donner du courage avant de devoir faire quelque chose de difficile (comme aller bosser par exemple).
À l’intérieur, on y retrouve des écorces d’orange et des épices de Noël comme de la muscade, de la cannelle et du clou de girofle.
Oriental noir
Celui-ci est tout nouveau, puisque je l’ai reçu à Noël, mais il est déjà en train de gravir les marches du podium.
En voyant d’abord les ingrédients, je n’étais pas sûre qu’il me plairait, mais en me confrontant à l’odeur et au goût, j’ai très vite changé d’avis. C’est, comme le coquelicot gourmand, un thé qui conviendra à toutes les saisons et que je trouve étonnamment frais (pour un thé), probablement grâce à ses notes fruitées.
Celui-ci est garni de fruits de la passion, de pêche de vigne et de fraise des bois.
Ronde d’automne
Je te promets que quand j’ai senti ce thé pour la première fois, j’ai cru m’être plantée et avoir ouvert le pot de Nutella. C’est assez saisissant.
Ronde d’automne est quant à lui vraiment caractérisé comme un thé d’automne/hiver (comme son nom l’indique). C’est certainement le plus âpre de cette sélection, c’est pour ça que j’y met un peu plus de miel que d’habitude. Mais il est aussi très vivifiant.
Il est à découvrir chez la Compagnie Coloniale et est constitué de vanille, de noisette et de feuilles de noisetier.
Musique et vidéos
Encore une chose que je ne t’ai jamais dite : je suis une dingue de musique. Il faut toujours qu’il y en ai dans mes oreilles. Je m’endors, me réveille et travaille en musique. J’en ai aussi beaucoup écouté cette année, alors je ne te présente que les deux albums qui m’ont le plus marqués.
Et quand je n’écoute pas de musique, je regarde des vidéos sur YouTube. Tu auras donc aussi droit à deux youtubeuses que j’ai découvertes récemment.
Le procédé reste le même : clique sur les images si tu veux accéder aux infos des albums ou aux chaînes YouTube.
Vianney, « N’attendons pas »
Les chansons de Vianney et moi, ça a toujours été une grande histoire d’amour. Depuis son premier album jusqu’au dernier en date, j’aime ses textes et ses mélodies. Je peux les écouter en boucle sans problème ! D’ailleurs, j’ai savouré celui-là dès le jour de sa sortie. Et en plus, critère qui pèse lourd dans la balance : je ne doute pas un instant, parce que ça se voit, que Vianney est un type bien, généreux et désintéressé.
Mes chansons préférées de « N’attendons pas » sont : « Merci pour ça », « Beau-papa », et « La fille du sud ».
Vitaa & Slimane, « VersuS »
Cet album est sorti en août 2019, mais j’ai longtemps résisté à toute la hype autour de ce nouveau duo, ce qui fait que je ne me suis découvert une passion pour « VersuS » qu’assez récemment.
J’adore le fait qu’ils aient réussi à aussi bien accorder leurs voix et la manière dont ils chantent leurs textes, comme en se répondant l’un l’autre. Leurs mots sont magnifiques, pleins de sens et d’émotions. Tout ça me colle des frissons à chaque fois. (Et je serai bien incapable de te donner mes titres favoris puisqu’ils le sont tous.)
En revanche, le « VersuS – Chapitre II » qui est sorti cette année m’a beaucoup moins convaincue…
Caroline Alaska
Ça fait déjà bien des années que je regarde des booktubeuses parler de leurs lectures, et c’est vrai que j’ai toujours tendance à rester dans mon cercle habituel. Mais cette année j’ai découvert la chaîne de Caroline Alaska, et je suis tombée sous le charme.
J’aime beaucoup sa voix, d’abord, ce qui est un point important à mon sens ; mais aussi et surtout ses avis littéraires qui sont toujours très complets et qui savent toujours viser juste. À chaque fois que je regarde une de ses vidéos, ma wishlist se retrouve tellement remplie que s’en est presque indécent.
Elle ne sort pas de vidéos très régulièrement et se fait discrète en ce moment, mais en attendant son retour j’ai de quoi m’occuper avec ses anciennes vidéos !
Les astuces de margaux
Margaux est aussi une découverte toute récente puisqu’elle date de début décembre…
Ici, on change complètement de registre puisque Margaux ne parle pas du tout de lectures, mais plutôt d’organisation, de bullet journal, ou de sa vie en général.
Et j’ai beau ne pas vraiment utiliser ses méthodes, j’adore l’écouter parce que sa voix me repose et me relaxe beaucoup. Je me détends sans pression et c’est très agréable.
Vie quotidienne
Voici tous mes essentiels de cette année qui rendent ma vie quotidienne plus simple !
(Bon, t’as compris le truc : cliques sur l’image pour accéder à toutes les infos.)
Bouilloire
Oui, je sais, c’est un peu bête, mais cette chose est en train de révolutionner ma vie, à un tel point que je pense bientôt lui donner un nom.
Ça faisait longtemps que j’en voulais une, mais mes parents me soutenaient que ça ne servait à rien, donc je continuais à faire chauffer l’eau pour mon thé dans une casserole sur le gaz… Je pense que les buveurs de thé qui passent par ici comprendront mon souci : c’est long, et la température ne convient jamais.
Et la semaine dernière j’ai découvert cette beauté sous le sapin ! Franchement, je suis ravie de ma bouilloire (de la marque « Riviera & Bar ») qui a surtout une fonctionnalité qui m’enchante : je règle la température de l’eau. Si je demande qu’elle soit à 90°, je peux m’en aller et elle sonnera lorsqu’elle sera prête ! C’est pas trop génial ?
Théière
Encore un truc tout bête, mais avant, lorsque je voulais infuser mon thé en vrac, je le mettais dans ce qu’on appelle une boule à thé. Le problème c’est que je n’en ai jamais trouvée une qui me convenait : lorsque j’essayais de la remplir il y avait toujours plus de thé sur la table qu’à l’intérieur, et quand je le buvais je voyais des feuilles de thé flotter à la surface (ce qui n’est vraiment pas agréable à boire).
Et en août j’ai trouvé ce modèle de théière dans une chambre d’hôtes où je séjournais pendant mes vacances. Ce fut comme une révélation.
Ce qui est très appréciable est que le filtre est vraiment très fin, il n’y a aucun risque qu’une feuille de thé passe au travers. Et sa taille est parfaite : juste de quoi remplir un mug, c’est la dose qu’il me faut.
Spliiit
Je ne connaissais absolument pas Spliiit avant que l’on m’en parle, et pourtant il aurait pu m’être bien utile depuis longtemps.
Le principe est assez simple. Ce service te permet de partager les sessions que tu n’utilises pas dans tes abonnements. Par exemple : tu as un compte sur Netflix, et donc quatre sessions de disponibles (que tu peux généreusement partager avec tes proches). Eh bien si tu rentres ton compte sur Spliiit, tu pourras attribuer une session à trois personnes qui te paieront un abonnement. Ainsi ta facture Netflix sera en réalité divisée par quatre !
Et ce principe fonctionne pour une tonne d’autres abonnements (vidéos, musique, lecture, journaux, jeux vidéo, …).
Au début, j’étais assez sceptique quant au sérieux et à la sécurité du processus mais ça fait déjà quelques mois que j’y suis, et je n’ai pas rencontré le moindre problème. Tu auras juste à partager ton adresse mail avec tes co-abonnés (ou une adresse mail que tu auras créé spécialement pour Spliiit) et un mot de passe que tu n’utilises pas ailleurs et qui ne te sois pas personnel.
L’argent que tu recevras des comptes que tu partages sera placé dans ta cagnotte Spliiit (ou directement sur ton compte en banque si tu préfères) et ainsi tu pourras utiliser cet argent pour adhérer à d’autres abonnements (ou pas).
Ainsi, j’ai pu partager mon compte Boobox, car je recevais trop de livres par mois, et m’abonner à de nouvelles plateformes. Résultats des courses : j’ai beaucoup plus de services à disposition sans dépenser plus d’argent. C’est du tout bénef.
Je te conseille d’aller y jeter un coup d’œil si le principe t’intéresse.
Petit Bambou
J’ai toujours eu des problèmes de sommeil divers et variés. Et un peu avant l’été, mon médecin m’a conseillé de me tourner vers l’application « Petit BamBou » qui est dédiée à la méditation, en pensant que ça pourrait peut-être m’aider. Et même si j’étais assez septique au début, j’ai essayé histoire de ne pas mourir trop bête.
Et j’ai été plutôt surprise, parce qu’il s’avère que ce n’est pas si inutile que ça. L’application est agréable à prendre en main et les sessions de médiation sont bien faites aussi. La voix qui nous guide est très douce et calme, les exercices sont simples, et la durée est pile ce qu’il faut (une dizaine de minutes).
Malgré que ça n’est pas réglé mes problèmes de sommeil et que j’ai encore du mal à être régulière dans mes séances, j’ai tout de même l’impression que « Petit BamBou » m’a permis de diminuer mon stress quotidien et de me calmer dans les périodes agitées. C’est donc un bon point.
« Petit BamBou » laisse dix séances gratuites en libre-service, et si nous sommes sous le charme, nous pouvons adhérer à leur abonnement. Pour ma part, je continue avec les séances gratuites, que je recommence une fois terminées.
Bref, un potentiel bon moyen pour les anxieux de faire baisser leur niveau de stress avec cette méthode on ne peut plus naturelle.
Le mot de la fin
Voilà !
J’espère que ton 1er janvier n’est pas trop brumeux et que cet article t’aura donné quelques idées pour te divertir et simplifier un peu ton quotidien.
Je te souhaite tout le meilleur pour 2021 !
Amandine Stuart
2 commentaires
Ben · 28 mai 2022 à 23:52
Super le blog Amandine !
Varié et bien écrit !
Je me couche après deux articles (celui ci et le tout premier) j’ai aussi lu une partie du voyage à Strasbourg 😁
Très agréable, bravo et merci !
Amandine Stuart · 29 mai 2022 à 17:37
Merci pour ton retour, Ben !
C’est toujours agréable d’avoir l’avis d’un connaisseur 😋