Des rêves dans la marge

Des lectures variées et des avis sincères

Regards en miroir : Shadow and Bone, la Saga Grisha

Si tu habites sur la planète Terre, je suis à peu près certaine que tu as entendu parler de la série Shadow and Bone. Et encore, je suis sûre que Thomas Pesquet l’a au moins vu passée, alors c’est pour te dire !

Elle est sortie sur Netflix le 23 avril 2021. C’était un vendredi. Mais il se trouve que c’était aussi le dernier jour de cours à la fac et le premier de la traditionnelle semaine de révisions avant les partiels. Pour résumer : un jour de fête, seulement moyennement réjouissant.

Bref, nous étions le vendredi 23 avril, il était 12h30 et je venais de raccrocher de mon dernier cours de l’année. Cours où j’avais présenté un travail à l’oral (parce qu’évidemment les profs adorent nous donner des oraux jusqu’au bout, c’est bien connu) que je pensais avoir réussi. J’étais donc dans un état de soulagement un peu extatique, mais épuisée, lorsque je reçois une notification sur mon téléphone.

C’était mon amie Marie. Et là, je ne sais pas ce qui s’est passé, parce que je te promets que mes doigts ont agi avec leur volonté propre…

Nous voilà donc en train de lancer l’épisode 1 de Shadow and Bone, la Saga Grisha exactement au même moment pour pouvoir le suivre ensemble. Et durant les 52:20 minutes qu’a duré cet épisode, nous n’avons pas cessé de nous envoyer des messages pour commenter/fangirler/nous extasier/râler/rire/nous offusquer/arrêter de respirer devant ce que nous voyions.

Ces fameuses 52 minutes sont passées à une vitesse interstellaire et nous ont laissées excitées comme des puces. C’est donc très naturellement que nous avons décidé de continuer l’expérience et de regarder ensemble 1 épisode par jour durant la semaine à venir. Ça tombait bien : la série fait 8 épisodes.

J’AI OUBLIÉ DE TE DIRE UNE CHOSE PRIMORDIALE !! C’est que Marie avait lu la Saga Grisha il y a quelques mois et qu’elle désirait l’adaptation avec force ! Alors que moi, je n’avais jamais entendu parler de cette série, qui m’était donc totalement étrangère…

Bien entendu, j’avais beaucoup entendu parler de Six of Crows ! Marie m’avait d’ailleurs ouvertement menacée à plusieurs reprises pour que je le lise, sans toutefois jamais réussir à me faire sauter le pas…

Tout ça pour te dire que lorsque nous avons clôturé le dernier épisode 7 jours plus tard (parce que tu te doutes bien que nous nous sommes enfilés les deux derniers l’un à la suite de l’autre, pour nous éviter une insomnie)… J’ai eu l’idée de cet article qui comparerait nos deux avis sur la série : le mien, ayant débarqué dans cet univers grâce à la série Netflix Shadow and Bone ; et celui de Marie, qui a pu comparer l’adaptation aux écrits de Leigh Bardugo que sont la Saga Grisha et Six of Crows.

Et tu penses bien qu’elle a accepté de jouer le jeu, puisque tu es là pour lire cet article !

Donc, pour se mettre dans les bonnes conditions avant d’entrer dans le vif du sujet, je te mets ici la bande annonce officielle de la série, pour te remettre en tête ce de quoi nous partions (ou si tu viens juste d’atterrir après ton voyage depuis Mars, et que tu n’as donc aucune idée de ce dont je parle).

Alors, après cette intro de 13 kilomètres (je n’ose même pas remonter la page pour voir ce que ça fait, mais je pense être proche de la vérité)… C’est parti !

Comme cet article est particulièrement dense et conséquent, voici une table des matières qui te permettra de mieux circuler dans ses méandres. Tu n’as qu’à cliquer sur un titre pour directement accéder à la partie concernée.

Amandine Stuart, ou L’Inculte du Grishaverse

Me voilà donc à débarquer comme une fleur dans cet univers. Et la petite innocente naïve que j’étais alors a tout de suite été happée et émerveillée par ce qu’elle découvrait.

Un univers immersif

Pour être honnête, j’avais un peu peur de me perdre ou de ne pas comprendre certaines subtilités de l’intrigue et de l’univers. J’avais fait cette assez désagréable expérience lors de mon visionnage de la saison 1 de The Witcher. Heureusement que mon frère la regardait avec moi et m’expliquait tout (parce qu’il est un grand fan des livres).

J’avais donc peur que l’histoire se répète. Mais ce fut loin d’être le cas !

Si j’ai peut-être été déstabilisée durant les 10 premières minutes, très vite la constitution de l’univers s’est révélée parfaitement claire. Je n’ai donc eu aucun mal à discerner ce qui se jouait, les relations entre les personnages, les noms, …

Si je veux être tout à fait franche, je dirais que le speech de départ n’est pas révolutionnaire : une jeune fille qui apprend qu’elle a des pouvoirs inégalés, qui pourrait sauver le monde d’un affreux danger parce qu’il est possible qu’elle soit l’élue d’une prophétie.

Comme je le disais : Rien de révolutionnaire.

Sauf que.

Sauf que les acteurs sont vraiment bons (et beaux, ce qui, avouons-le, ne gâche rien), les décors sont magnifiques, les effets spéciaux sont parfaitement dosés (pas trop, mais réalistes), et le rythme est sacrément entraînant et bien cadencé.

Tout ça fait donc que l’on ne voit pas les minutes (et donc les épisodes) défiler.

Mais pour que tu comprennes bien à quel point Shadow and Bone m’a fait vibrer, j’aimerais insister davantage sur deux points primordiaux dans cette histoire : les personnages et le rythme.

Des figures sublimement incarnées

On ne va pas se mentir : le jeu d’acteurs est à 45% ce qui fait qu’une série est bonne ou non.

Eh bien, dans le cas de Shadow and Bone, c’est ce qui fait que j’ai adoré cette série.

Grisha

Certes, j’avoue que j’ai très moyennement accroché avec Alina et Mal. Mais je pense sincèrement que cet état de fait n’est pas tant dû à l’interprétation qu’aux caractères des personnages.

J’ai franchement trouvé que l’actrice qui jouait Alina se débrouillait bien, en la rendant certainement moins candide et enfantine que le personnage imaginé par Leigh Bardugo (en tout cas, c’est vraiment comme ça que je l’ai ressenti). Donc, même si ce n’était pas l’amour fou entre Alina et moi, j’avoue que je la tolérais plutôt bien.

Quant à Mal, je crois que c’est l’exception qui confirme la règle. Il n’y a pas une facette de ce personnage que j’ai appréciée. Il était affreusement cliché, pas très bien joué, … Bref, quand une scène avec lui se profilait je me disais : « Mince, t’es encore là toi ?! Dépêche-toi de t’en aller, qu’on puisse passer à la suite. » Mais bon, encore une fois, je n’y ai pas trop attaché d’importance, parce que la perfection n’existe pas.

En revanche, ça a commencé à vraiment s’améliorer avec le personnage de Kirigan. Et même si je sais que c’est encore mon syndrome du « grand brun ténébreux au sombre passé » qui ressort, je ne peux pas m’en empêcher. Il a vraiment su me surprendre (mais quand je dis « vraiment », c’est « VRAIMENT »), ce qui fait que j’éprouvais toujours une certaine tension lorsqu’il apparaissait à l’écran. En réalité, même après tout ce temps, je n’arrive toujours pas à savoir si je déteste ou si j’adore ce personnage. Mais c’est justement ce qui en fait un bon personnage : intéressant et imprévisible.

Six of Crows

Et maintenant, j’aimerais que tu arrêtes ce que tu es en train de faire pour me lire très attentivement. Parce que là, j’en arrive à la plus belle chose qui existe dans Shadow and Bone. La cuillère de cannelle dans le chocolat chaud, l’odeur saline quand tu te promènes près de l’océan. Bref, ce qui change tout, en faisant de ce que tu es en train de vivre un moment merveilleux. Donc, je répète : Éteins ta télé, sors de la salle d’attente de ton psy, fais une pause avec les caresses que tu donnes à ton chat, … Peu importe, juste : arrête. Parce que là, c’est sérieux.

Et ce sérieux tient en trois pauvres petits mots : SIX. OF. CROWS.

Et c’est là qu’il faut que je me rappelle de ne pas écrire une dissert’.

Très vite, en visionnant la série, je suis tombée en amour devant un trio de personnages, j’ai nommé : Kaz, Inej et Jesper. Ils forment donc les Six of Crows. (Je sais, ils ne sont pas six, mais c’est comme ça qu’on les appelle, pour des raisons qu’il serait bien trop long de t’expliquer dans cet article.) (Parce que ça me ferait écrire une dissert’, ce que je veux éviter, comme je viens de le dire.) (Mais cette raison pourrait avoir un rapport avec une série annexe –Six of Crows– qu’aurait écrite Leigh Bardugo.) (Arrête-moi.)

Pour faire court : Kaz, Inej et Jesper sont l’âme de Shadow and Bone, ceux pour qui j’ai vibré à chaque seconde où ils étaient à l’écran.

Ce sont des personnages si profonds, complexes et bien construits que j’ai vraiment ressenti une sorte de fracture avec Alina, Mal et Kirigan. L’écart était grand. Mais ce n’est pas si grave parce que ça nous a permis d’assister à cette performance de haut vol que sont les Six of Crows, et pour ça : Merci !

Kaz m’a fait palpiter le cœur. Inej représente un nouveau modèle. Et Jesper m’a tellement fait rire et attendris que s’en ait indécent.

Je les aime.

Et plus que tout… JE VEUX UNE SÉRIE ENTIÈREMENT DÉDIÉE À SIX OF CROWS !!!

Bref, si tu veux une seule bonne raison pour laquelle tu dois regarder Shadow and Bone, c’est celle-ci : S.I.X. O.F. C.R.O.W.S.

Ok. J’arrête parce que ça devient pathétique.

Un duo sur la soupe ?

Beaucoup on fait ce reproche à la série disant que le duo que forment Nina et Matthias n’a aucune espèce d’utilité. Fondamentalement, ce n’est pas faux.

Mais je ne suis pas d’accord.

C’est vrai que Nina et Matthias vivent une intrigue parallèle à toutes les autres de la série. Ils ne rencontrent ou croisent aucun des personnages que j’ai cités avant, et vivent donc leur intrigue en solo.

Sauf que 1) cette intrigue est juste génialissime, intelligente, et qu’elle m’a toujours collé de grands sourires idiots sur le visage ; et que 2) je suis intimement persuadée qu’elle sera d’une importance capitale dans la suite. Même si j’ai un peu de mal à voir comment, je sais que ça va être dingue, et c’est une des choses que j’attends de voir avec le plus d’impatience.

(Parce que, oui, encore une fois, j’ai fait une liste sur mes attentes et espérances pour la saison 2. Peut-être qu’un jour je devais te partager une de ces fameuses listes. Ça te plairait ?)

Un rythme parfaitement équilibré

J’en viens maintenant au deuxième point le plus important quand tu regardes une série : le rythme. (Parce que c’est quand même ce qui fait que tu t’ennuies ou pas.)

(Je vais essayer de faire court, parce que je me rends compte que j’accapare le temps de parole, et ce n’est pas juste pour Marie qui attend que je termine.)

Donc, le rythme est vraiment bien construit, ce qui fait que je n’ai vraiment pas vu passer les 8 épisodes.

Il y a un équilibre parfait entre l’action, les sentiments, les rebondissements, les passages comiques (mention spéciale pour Milo), …

Un régal !

(Est-ce que c’était assez court ? Parce que ça me paraît difficile de faire mieux…)

Le mot de la fin d’Amandine Stuart

Tu l’auras compris, Shadow and Bone est la nouvelle petite pépite de Netflix. J’attends la saison 2 avec impatience en espérant qu’elle soit à la hauteur de la première… Et qu’on nous annonce la sortie d’une série entièrement dédiée à Six of Crows ! Je sais, c’est beau de rêver.

D’ailleurs, en parlant de Six of Crows, je pense que tu te doutes, au vu de mon enthousiasme, que j’ai très rapidement sauté sur le roman. Il est donc déjà lu, et ma mini-chronique est également déjà disponible.

J’ai vraiment adoré écrire cet article à quatre mains. Marie est une super partenaire de travail !

Je te laisse maintenant avec elle pour qu’elle t’expose son avis sur la série, alors qu’elle avait précédemment lu les livres de Leigh Bardugo !

Marie, ou La comparaison

Bonjour tout le monde ! Je suis Marie, la bêta-lectrice du blog, et j’interviens aujourd’hui pour compléter l’avis / l’analyse de la série. Ayant lu en partie la trilogie des Grisha et la duologie des Six of Crows, je vais donc vous donner mon avis concernant l’adaptation en série de ces livres, et vous donner mon point de vue en tant que lectrice !

Petite précision : Shadow and Bone est le titre VO de la saga Grisha.

Le Grishaverse et des ressentis différents

Six of Crows : Une tuerie !

Tout d’abord, j’avais lu les Six of Crows il y a quelques années déjà, et ils font partie de mes livres préférés (à moins que ce ne soit tout simplement mes livres favoris, mais passons). Cette duologie m’avait à l’époque toute retournée, j’avais trouvé l’histoire complexe et intéressante, attendant de la digérer complètement avant de la relire. Malheureusement, je ne l’ai toujours pas fait, mais cette série m’a remise dans le bain de cet univers, donc pourquoi pas…

La saga Grisha : un constat plus mitigé

Ensuite, les Grisha : en apprenant la sortie d’une série sur cet univers, je me suis dit qu’il serait on ne peut plus intéressant d’avoir lu les livres, et de voir comment les réalisateurs ont su adapter ces écrits sur le petit écran ! Je me suis donc lancée dans cette trilogie en début d’année, alors que le résumé ne m’avait jamais plus accrochée que ça.

Pour être franche, je ne l’ai pas finie : j’ai lu le premier tome en entier et je ne crois pas avoir fini le deuxième (j’ai un gros doute à ce sujet, alors tu vois à quel point les livres m’ont marquée…). Je pense néanmoins la continuer avec la suite de la série, car j’ai adoré faire des comparaisons entre les deux (et puis, si Amandine m’invite une nouvelle fois sur le blog, il faut que je fasse mon boulot ?).

Une adaptation différente, mais parfaite sous tous ses aspects !

Là, aucun doute : j’ai adoré la série ! J’avais vraiment beaucoup d’appréhension, avec mon ressenti des livres Grisha – qui représentent tout de même le scénario principal de Shadow and Bone. Pourtant, j’ai tout de suite été happée par l’atmosphère particulière qu’elle dégage, mais aussi par le jeu d’acteur, les décors et tant d’autres choses ! Et, en tant que lectrice, le scénario était des plus intéressant.

Je me suis récemment découvert un attrait pour les adaptations qui diffèrent des livres d’origine : cela ouvre des possibilités inimaginables au niveau de l’histoire, mais surtout une richesse autour de l’univers. Pourquoi regarder quelque chose dont vous connaissez l’histoire, alors que vous pourriez tout aussi bien découvrir une nouvelle histoire dans l’univers que vous adorez, et en retrouvant vos personnages favoris ?

Six of Crows, les passages qui font toute la différence

C’est aussi pour cela que j’ai réellement apprécié les passages « Six of Crows ». En effet, toute l’histoire a été retravaillée pour tourner autour de celle de Grisha. Les personnages, les lieux emblématiques, et l’atmosphère propre au Barrel ont été conservés, au profit d’un nouveau casse. Cela nous permet de voir les personnages sous un nouveau jour, et la découverte était réellement jouissive. Par contre, la petite bande a été revue à la baisse : Nina et Matthias, présents dans le livre, ont été détachés du « gang » des Corbeaux. Cela a été, pour moi, un choix assez judicieux car les trois restants – Kaz, Inej et Jesper – se suffisent largement à eux-mêmes.

Par contre, je n’ai pas compris pourquoi Nina et Matthias avaient leur propre histoire dans la série : ils n’étaient absolument pas reliés à l’intrigue principale ! Ce point m’a semblé un peu dérangeant, malgré l’amour que je porte aux personnages. Amandine (qui lit actuellement les livres), m’a fait remarquer que la série – et donc la saga Grisha – prend place avant Six of Crows, et on retrouve donc l’histoire de la constitution du gang… Pas mal ! (C’est vrai, j’ai fait quelques recherches pour me remettre dans le bain, mais j’ai apparemment vraiment besoin de relire la duologie :’/).

Ma réconciliation avec Grisha

Au niveau des passages de Grisha, qui est malgré tout l’histoire principale, l’action ne m’a pas du tout déplue. Contrairement aux livres, que j’avais trouvé lents par certains aspects, l’aventure avance vite, les informations sur l’univers nous sont rapidement données. Certains évènements ont été liés pour ne former qu’un, ce qui permet un avancement plus rapide (le tome 1 ne tient qu’en 8 épisodes, avec des trames subsidiaires !).

J’avais également plus d’affection pour les personnages à travers la série, ce qui m’a permis de me réconcilier quelque peu avec la trilogie. A mon grand désespoir, je n’arrivais pas à accrocher avec Alina et Mal lors de ma lecture, bien que ce soient des personnages de premier plan. Il a eu quelques changements au niveau du personnage d’Alina, par rapport à son origine par exemple, et je la trouve également plus courageuse, la rendant plus profonde à mes yeux. Désormais, elle m’est devenue beaucoup plus « accessible », et le duo plus compréhensible à mes yeux car leur lien est sûrement mieux visible grâce à l’usage de flashbacks. Grâce à tous ces points, j’ai pu apprécier (dans une moindre mesure, comparé aux passages des Crows) cette partie de la série, donc tout est bien qui finit bien !

Pour finir, la force de cette série est véritablement les personnages très travaillés, lui donnant une atmosphère particulière. On peut dire que les acteurs sont vraiment parfaits dans leurs rôles, étant donné qu’ils me donnent la même impression que lors de ma lecture.

Le mot de la fin de Marie

J’ai réellement adoré regarder cette série, qui a parfaitement su retranscrire la saga tout en apportant des modifications très intéressantes et, surtout, enrichissantes ! Et puis, elle est très courte (et apparemment parfaite à regarder avant ses examens ?).

Pour être tout à fait honnête, je regarde très peu de productions américaines : je me concentre plutôt sur les dramas asiatiques et les animés. Pourtant, cette série m’a fait de nouveau apprécier ces productions que je m’étais mises à éviter (pour les saisons à rallonge et les scénarios perdant de leur saveur)…

Je suis persuadée de regarder la saison 2 (mais quand… snif) qui, je l’espère, répondra à toutes mes questions : Suivront-ils l’histoire de la saga ? Et peut-on avoir une série rien que pour Six of Crows ???

Bon, pour cette dernière je ne suis pas sûre que cela se réalise, mais je continue de rêver. Merci à Amandine de m’avoir accueillie sur l’article, tu ne peux pas savoir à quel point cela me fait plaisir !! Et j’espère que ma petite contribution vous aura plu à vous, les lecteurs ? !

Avant de partir…

Marie et moi espérons que cet article qui sort des sentiers battus du blog a su t’aiguiller et te divertir !

Si le principe t’a plu, dis le nous en commentaires, peut-être que nous pourrons alors réitérer l’expérience de ces regards en miroir ! Pourquoi pas pour la saison 2, ou peut-être avec une autre série ? Toutes les suggestions sont les bienvenues !

Et toi alors, as-tu déjà succombé à Shadow and Bone ? En étant adepte des livres d’origine ? Quel est ton verdict ? – Oui, nous sommes affreusement curieuses !


Bonne nouvelle !

Depuis la publication de cette article, le 24 mai 2021, Netflix et toute l’équipe de la série viennent d’annoncer l’arrivée prochaine de la saison 2 de Shadow and Bone ! Pour l’instant, aucune date de sortie n’a encore été annoncée, ce qui est compréhensible quand on sait qu’il faut encore que les étapes de tournage et de production aient lieu…
C’est donc une excellente nouvelle ! Marie et moi sommes déjà dans les starting blocks, fin prêtes à découvrir cette suite pour te partager notre avis !
« Pas de sanglots, pas de tombeau ! »


Marie & Amandine Stuart

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