Des rêves dans la marge

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Amanda Gorman, La colline que nous gravissons

Résumé de l’éditeur

À vingt-deux ans, Amanda Gorman a déclamé l’un de ses poèmes, « La colline que nous gravissons », lors de la cérémonie d’investiture du président des États-Unis, Joe Biden. Son invitation vibrante à se tourner vers l’avenir avec courage et à oser agir a marqué l’Amérique et le monde.

Son poème est publié dans une édition bilingue, avec la traduction de l’artiste, autrice-compositrice et interprète Lous and the Yakuza, et précédé d’un avant-propos d’Oprah Winfrey.

Fayard

Fiche technique

Titre : La Colline que nous gravissons

Autrice : Amanda Gorman

Édition – Collection : Fayard – Littérature étrangère

Genre : Poésie

Nombre de page : 64

Date de parution : 19.05.2021

Âge : À partir de 13 ans

Prix : 8.00€

Mon avis

Je me souviens du jour de l’investiture de Joe Biden. J’avais allumé la télé en bruit de fond, pendant que je continuais à vaquer à mes occupations. Mais quand les journalistes ont annoncé qui serait la prochaine intervenante, je suis devenue beaucoup plus attentive.

Certainement parce que Amanda Gorman représentait déjà une sorte de figure inaccessible : une jeune fille, noire, qui a mon âge, autrice, poétesse, qui est populaire et commence à se faire un nom en politique.

Derrière mon écran, ses mots (maladroitement traduits en direct) sont parvenus à me toucher. Par leur sens (que je ne comprenais pas totalement), par la manière dont ils étaient lus, par la façon dont ils étaient incarnés.

Alors, j’ai voulu garder cette expérience sur une étagère de ma bibliothèque. Pour le lire, et le relire en français dès que j’en aurais envie.

Mais je dois dire que cette seconde découverte fut très différente de la première. J’ai trouvé le texte excessivement court (je l’ai lu en moins de 10 minutes). Et bien sûr, la quantité ne fait pas la qualité. Mais justement, rien ne m’a vraiment transportée. Je suis restée hermétique aux messages que l’on voulait me transmettre et aux tableaux que l’on voulait me dépeindre.

Je ne sais pas si c’est une question de traduction, qui aurait altérées ou déformées les sensations du premier regard. C’est possible. Toujours est-il que j’ai donc été assez déçue. C’est pour cela que je préfère garder en mémoire ma première rencontre avec Amanda Gorman et sa plume.

Ma note

Amandine Stuart

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