Résumé de l’éditeur
Within the pages of Allie Esiri’s gorgeous poetry collection, A Poem for Every Spring Day, you will find verse that will transport you to vivid spring-time scenes, taking you from the first sighting of blossoms to Easter.
The poems are selected from Allie Esiri’s bestselling poetry anthologies A Poem for Every Day of the Year and A Poem for Every Night of the Year.
Perfect for reading aloud and sharing with all the family, this book dazzles with an array of familiar favourites and remarkable new discoveries. These seasonal poems – together with introductory paragraphs – have a link to the date on which they appear.
Includes poems by William Wordsworth, Christina Rossetti, John Donne and Emily Dickinson who sit alongside Ted Hughes, John Agard, Maya Angelou, Wendy Cope, John Cooper Clarke and Carol Ann Duffy.
This soul-enhancing book will keep you company for every day and night of the Spring. Enjoy more seasonal poetry collections with A Poem for Every Summer Day and A Poem for Every Autumn Day.
Éditions Macmillan’s Children’s Books
Fiche technique
Titre : A Poem for Every Spring Day
Autrice : Allie Esiri
Édition : Macmillan’s Children’s Books
Genre : Poésie
Nombre de pages : 320
Date de parution : 04.02.2001
Âge : À partir de 10 ans
Prix : 18.39€
Mon avis
Comme je l’avais fait cet automne et cet hiver, j’ai poursuivi ma découverte des recueils de Allie Esiri tout au long du printemps avec A Poem for Every Spring Day, si ce n’est que cette fois j’ai tenu à vraiment jouer le jeu en ne lisant qu’un poème par jour – et pas en lisant le livre d’un seul coup comme je l’avais fait les saisons précédentes.
Le principe est simple : Allie Esiri nous propose une anthologie de poèmes (ou d’extraits de poèmes) en anglais qui s’attache chaque jour à nous proposer deux textes, un pour le matin et un pour le soir, en adéquation avec la saison printanière – et parfois avec l’évènement que l’on célèbre ce jour-là.
Une chouette expérience de poésie anglaise et printanière
Et je dois dire que ça m’a plutôt réussi. C’est même rapidement devenu une petite routine, une habitude que j’ai eu plaisir à suivre. Ce livre m’a donc accompagnée pendant trois mois pour cinq minutes de détente par jour. Même si, évidemment, il y a eu des journées où je n’étais pas dans le bon mood et d’autres où je ne comprenais rien à ce que je lisais. Mais globalement je garderai un bon souvenir de cette expérience.
Après, je ne dis pas non plus que ce fut une lecture mémorable puisque, même si les défauts qui m’avaient gênée dans A Poem for Every Autumn Day et A Poem for Every Winter Day m’ont moins sauté au visage… Ils sont tout de même là. Ainsi j’ai pu regretter la présence de textes trop “classiques” (dans le sens de trop “vieux”) et des mêmes auteurices qui revennaient souvent. Donc en gros : un manque général de diversité. Mais il n’empêche que j’ai surligné pas mal de vers et de poèmes de façon à pouvoir les retrouver. Et je tiens aussi à préciser, au cas où ça t’inquiéterait, que le niveau d’anglais ne m’a pas paru insurmontable.
Summer Time
Un bilan plutôt positif donc, même si je ne pense pas réitérer l’expérience cet été avec A Poem for Every Summer Day puisque je vais sûrement pas mal bouger pendant la saison et que je sais d’avance que je n’aurais pas la discipline nécessaire pour me tenir à cette lecture. Mais ce n’est pas grave : Je le garde en tête pour l’année prochaine !
En bref
En bref, A Poem for Every Spring Day de Allie Esiri fut une lecture sympathique que j’ai eu plaisir à suivre tout au long du printemps pour cinq minutes de détente par jour avec un poème en anglais. J’en garderai un bon souvenir grâce aux poèmes qui m’ont particulièrement plu que je n’ai pas hésité à surligner. Mais il n’empêche que je regrette un peu un manque général de diversité, que ce soit dans l’ancienneté des textes choisis où dans les mêmes noms d’auteurices qui revennaient souvent.
Ma note
La citation
🌙 12 April · Song in Space · Adrian Mitchell
Gagarin spent 108 minutes in space before descending back into the atmosphere and parachuting to safety from his capsule. Gagarin said of his experience that he “could have gone flying through space forever”. This poem about space travel by Adrian Mitchell imagines a conversation between the first man in space and the blue earth witch he looks down upon.
When man first flew beyond the sky
He looked back into the world’s blue eye.
Man said: What makes your eye so blue?
Earth said: The tears in the ocean do.
Why are the seas so full of tears?
Because I’ve wept so many thousand years.
Why do you weep as you dance through space?
Because I am the mother of the human race.
Allie Esiri, A Poem for Every Spring Day
Le mot de la fin
Si le concept de ces livres t’intrigue, je te laisse aller jeter un coup d’œil à mes chroniques sur les anthologies des deux saisons précédentes :
En attendant, je te laisse profiter de ce bel été et te souhaite un bon samedi !
Tu aimes accorder tes lectures en fonction des saisons ?
À bientôt pour un nouvel article !
Amandine Stuart
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