Des rêves dans la marge

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Allie Esiri, A Poem for Every Winter Day

Résumé de l’éditeur

Within the pages of Allie Esiri’s gorgeous collection, A Poem for Every Winter Day, you will find verse that will transport you to sparkling winter scenes, taking you from Christmas, to New Years Eve and the joys of Valentines Day.

The poems are selected from Allie Esiri’s bestselling poetry anthologies A Poem for Every Day of the Year and A Poem for Every Night of the Year. Perfect for reading aloud and sharing with all the family, this book dazzles with an array of familiar favourites and remarkable new discoveries. These seasonal poems – together with introductory paragraphs – have a link to the date on which they appear.

Includes poems by Mary Oliver, Edgar Allan Poe, Thomas Hardy, E. E. Cummings and Robert Burns who sit alongside Benjamin Zephaniah, Wendy Cope, Roger McGough and Jackie Kay. This soul-enhancing book will keep you company for every day of winter.

Éditions Macmillan’s Children’s Books

Fiche technique

Titre A Poem for Every Winter Day

Autrice : Allie Esiri

Édition : Macmillan’s Children’s Books

Genre : Poésie

Nombre de pages : 320

Date de parution : 29.10.2020

Âge : À partir de 10 ans

Prix : 17.93€

Remarque : J’ai lu ce livre dans le cadre de l’édition 2022 du Cold Winter Challenge.

Mon avis

Ce livre te dit peut-être quelque chose puisque j’ai lu sa version automnale il y a quelques mois. Et même si ce fut une lecture en demi-teinte, la partie maniaque de mon cerveau s’est dit que ça serait quand même bien que je poursuive la série au fur et à mesure des saisons. Voici donc A Poem for Every Winter Day qui s’attache, comme son nom l’indique, à nous proposer des poèmes en adéquation avec la période hivernale.

Une expérience glaciale

Mon avis sur ce livre est assez similaire au précédent. C’est-à-dire que je n’ai pas été très emballée par cette lecture à laquelle je reproche un certain nombre de choses, notamment un anglais assez difficile d’accès, des poèmes très “classiques” (c’est-à-dire des siècles derniers) et des mêmes noms d’auteurices qui revenaient souvent. J’avoue donc qu’il m’est arrivé de sauter quelques pages lorsque je ne comprenais pas un poème (il était alors inutile d’aller jusqu’au bout) ou encore lorsque j’ai fini par me lasser du livre en général – j’ai donc lu très en diagonale à partir de la moitié de l’anthologie. De plus, même si Allie Esiri tentait toujours de trouver un poème qui correspondait à des événements importants du jour où nous étions, j’avais souvent du mal à voir le rapport que celui-ci avait avec l’hiver…

Mais peut-être que ma lassitude pour A Poem for Every Winter Day vient du fait que j’ai voulu le lire d’un coup, au lieu de lire un poème par jour comme le veut le principe. C’est donc ce que je vais bientôt essayer avec A Poem for Every Spring Day auquel je vais m’atteler dès le début du mois de mars, afin de voir si la lecture est plus digeste de cette façon. Lire un poème par jour, c’est quand même loin d’être la mer à boire !

Quoique, je dis “un” poème… Mais en réalité c’est bel et bien deux poèmes par jour qui nous sont proposés. Tout comme dans A Poem for Every Autumn Day, Allie Esiri a récolté un poème à lire chaque matin, mais aussi un chaque soir. Ce qui me perturbe toujours autant puisque ce n’est pas ce que nous promet le titre… Mais je suppose que je n’ai pas à me plaindre que l’on m’offre plus de lecture que prévu !

En bref

En bref, A Poem for Every Winter Day de Allie Esiri fut à l’image de ma lecture de la version automnale du même livre, c’est-à-dire très mitigé. Je regrette notamment le manque de diversité dans les noms des auteurices, la difficulté de l’anglais que j’ai trouvé bien souvent trop peu accessible, mais aussi l’ancienneté de la majorité des poèmes qui manquaient donc de modernité à mon goût. J’ai donc fini par me lasser de ce livre et par en faire une lecture très en diagonale. Mais cela n’empêche pas que je compte tout de même me lancer dans le tome suivant, consacré au printemps, mais en tentant cette fois de le lire un peu chaque jour – plutôt qu’en une fois.

Ma note

La citation

? 19 Février · Rainbow · John Agard

On 19 February 1672, Sir Isaac Newton published his work on rainbows, after refracting light through a prism. Newton first catalogued five colours, before settling on the seven we know today – Newton thought seven was a suitable number, as there are seven notes in a musical scale. The Guyanese poet John Agard makes a rainbow the occasion for some reflections on the nature of God.

When you see

de rainbow

you know

God know

wha he doing –

One big smile

across the sky –

I tell you

God got style

the man got style

When you see

raincloud pass

and de rainbow

make a show

I tell you

is God doing

limbo

the man doing limbo

But sometimes

you know

when I see

de rainbow

so full of glow

and curving

like she bearing a child

I does want to know

if God

ain’t a woman

If that is so

the woman got style

man she got style

Allie Esiri, A Poem for Every Winter Day

Le mot de la fin

Et voilà pour cette petite chronique qui ouvre cette semaine en douceur. En espérant que tu te portes bien, je retourne de ce pas lire d’autres choses et te préparer tout plein d’autres avis !

Tu as déjà lu de la poésie en anglais ?

À bientôt pour un nouvel article !

Amandine Stuart

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