Résumé d’Une époque en or
Chloé Berthoul habite la ville moyenne de Gabarny avec son compagnon, sa belle-fille et son fils. Seule petite folie dans son quotidien, le lundi elle se défoule au BMA, le club des Belles-Mères anonymes. La lassitude la guette, entre deux crises d’angoisse sur le réchauffement climatique. Comment reprendre sa vie en main quand le seul espace de liberté est de changer de fournisseur d’électricité ?
Soudain tout bascule avec la révélation d’un secret de famille. Chloé va devoir jongler entre un trésor perdu, des masculinistes hargneux, un plan pour la fin du monde, une grand-mère machiavélique et un lave-vaisselle qui ne se vide pas tout seul.
Une époque en or est l’histoire d’une famille ordinaire tout à fait géniale. Un roman qui déborde de vie, d’adrénaline et de paniers de linge sale.
Éditions de L’Iconoclaste
Fiche technique
Titre : Une époque en or
Autrice : Titiou Lecoq
Édition : L’Iconoclaste
Pages : 393
Parution : 04.04.2024
Âge : À partir de 16 ans
Formats & Prix : Papier : 21.90€ • Ebook : 13.99€
Mon avis sur Une époque en or
J’avais adoré le style et le ton de l’autrice dans son essai féministe Les Grandes Oubliées, j’étais donc très curieuse de la retrouver dans son premier roman. Et si j’ai passé un bon moment de lecture, je dois tout de même avouer que j’en attendais plus – ou tout du moins autre chose. Moi qui m’attendais à tomber dans une comédie, je me suis en réalité retrouvée face à une sorte de chronique familiale / tranche de vie / peinture sociale acide et un peu désabusée parfois. J’avoue que j’avais plutôt tendance à me sentir un peu déprimée lors de ma lecture, qui a en effet pu se révéler drôle – mais plutôt dans un humour noir qui nous fait rire jaune, et je ne pense pas que ça correspondait à mon mood du moment. Ce qui ne veut pas dire que je n’ai pas aimé ce livre, au contraire : certains passages, idées, personnages, révélations et traitements étaient chouettes… Mais ça n’a pas suffi en ce qui me concerne.
Ma note
La citation d’Une époque en or
À droite, il y avait quatre boîtes aux lettres. Au fond du hall, un escalier menait aux étages, et en dessous, comme dans les souvenirs de ma mère, une porte en bois marron, de petite taille.
“C’est la chambre de Harry Potter”, m’a soufflé Colette.
Titiou Lecoq, Une époque en or
Le mot de la fin
C’est la fin de cette mini-chronique expresse ! Mais tu peux toujours aller jeter un œil aux sept autres avis que j’ai publiés aujourd’hui… Et on se retrouvera dès lundi pour une nouvelle chronique, un peu plus replète cette fois-ci. Alors, pour être certain⋅e de ne pas passer à côté, je t’encourage chaleureusement à aller t’inscrire à la newsletter (tu seras ainsi averti⋅e par mail dès qu’un nouvel article sera publié sur le blog) ou à venir me retrouver sur Instagram où je publie tous les jours de nouveaux contenus littéraires !
Mais avant de partir, viens me dire en commentaires si tu es toi aussi un⋅e fan du style de Titiou Lecoq !
À bientôt pour un nouvel article !
Amandine Stuart
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