Résumé de The Agency for Scandal
La Volière, un groupe de femmes intrépides prêtes à tout pour changer le monde !
Londres, 1897. La jeune Izzy Stanhope a bien des choses à cacher : la situation financière désastreuse de sa famille, son amour impossible pour un duc qui ignore tout de son existence et, surtout, son travail à la Volière, une agence secrète dont la spécialité est de faire chuter les hommes puissants et sans scrupules.
Lorsqu’elle découvre que celui qu’elle aime en secret est mêlé à un sinistre complot, elle s’embarque dans une enquête à haut risque. Parviendra-t-elle à accomplir sa mission sans céder à la tentation ?
Fiche technique
Titre : The Agency for Scandal
Autrice : Laura Wood
Édition : Pocket Jeunesse
Pages : 384
Parution : 16.05.2024
Âge : À partir de 13 ans
Formats & Prix : Papier : 18.50€ • Ebook : 12.99€
Remarque : J’ai lu ce livre dans le cadre de l’édition 2024 du Pumpkin Autumn Challenge.
Mon avis sur The Agency for Scandal
Voici ma première lecture pour le Pumpkin Autumn Challenge ! J’avais eu envie de découvrir cette autrice qui hype tout bookstagram à chaque nouvelle sortie, d’autant plus que ce titre et ce résumé me faisaient beaucoup penser à The Agency, une série phare de mon adolescence. Résultat ? C’était sympa – entraînant et bien rythmé, avec de beaux messages autour du féminisme et de la sororité, ainsi qu’une petite romance toute mignonne. Mais j’ai malgré tout ressenti un certain manque de profondeur : j’aurais aimé plus de développements, notamment au niveau de l’intrigue qui manquait un peu d’embûches selon moi. Il me semble que la série va se poursuivre avec l’arrivée de tomes compagnons, mais je vais certainement m’arrêter là en ce qui me concerne. Mais c’est quand même un titre à retenir si tu cherches une lecture fluide et sans prise de tête.
Ma note
La citation de The Agency for Scandal
Seul un homme privilégié tel que vous peut poser une question pareille. Dès l’instant où une femme se marie, elle devient la propriété de son époux. Il a fallu attendre des siècles pour qu’une épouse soit considérée par la loi comme un être distinct plutôt qu’une simple extension de son mari. Elle était jusqu’alors l’équivalent d’un bras ou d’une jambe incapable de penser, de ressentir ou d’agir par soi-même.
Laura Wood, The Agency for Scandal
Le mot de la fin
C’est la fin de cette mini-chronique expresse ! Mais tu peux toujours aller jeter un œil aux sept autres avis que j’ai publiés aujourd’hui… Et on se retrouvera très bientôt pour de nouvelles chroniques, un peu plus replètes cette fois-ci. Alors, pour être certain⋅e de ne pas passer à côté, je t’encourage chaleureusement à aller t’inscrire à la newsletter (tu seras ainsi averti⋅e par mail dès qu’un nouvel article sera publié sur le blog) ou à venir me retrouver sur Instagram où je publie très régulièrement de nouveaux contenus littéraires !
Mais avant de partir, viens me dire en commentaires si tu as lu The Agency for Scandal de Laura Wood et ce que tu en as pensé !
À bientôt pour un nouvel article !
Amandine Stuart
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