Résumé de Love, Theoretically
— Je te hais depuis le jour où j’ai entendu ton nom pour la première fois. Je te hais depuis que j’ai lu dans le Scientific American ce que tu avais fait. Je te hais depuis l’âge de douze ans. Je te hais plus que tu ne me hais, depuis plus longtemps et pour de meilleures raisons.
Jack n’a plus du tout l’air amusé. Et pour moi, c’est une première. La première fois que je suis vraiment moi-même. J’en éprouve un sentiment nouveau, inconnu, bizarre – que j’adore.
En pratique, Elsie sort avec Greg. Enfin, c’est ce qu’ils font croire. Le soir, pour arrondir ses fins de mois, Elsie loue ses services de fausse petite amie idéale. Et le jour, elle trime dans les amphis et croule sous les copies d’étudiants dont la grand-mère vient encore de mourir. Son rêve de toujours ? Être chercheuse titulaire ! Alors quand le département de physique du MIT ouvre un poste, Elsie ne perd pas une seconde. Seul accroc : Jack Smith, l’un des recruteurs (et, accessoirement, un brillant scientifique aussi arrogant que sexy), est prêt à tout pour placer son propre poulain… Mais rien ne se mettra entre elle et ce poste, même pas ses biceps à défier les lois de la gravité. En théorie, tout devrait bien se passer, non ?
Fiche technique
Titre : Love, Theoretically
Autrice : Ali Hazelwood
Édition – Collection : Hauteville – Comédie Romantique
Pages : 416
Parution : 02.06.2024
Âge : À partir de 17 ans
Formats & Prix : Broché : 19.95€ • Relié : 24.95€ • Ebook : 9.99€
Mon avis sur Love, Theoretically
Une lecture que j’ai dévorée en quelques heures tellement ça a été un plaisir de retrouver la plume d’Ali Hazelwood ! Et pourtant, j’ai trouvé ce roman assez en-dessous du niveau de ce qu’elle nous offre habituellement. Je n’ai pas vraiment réussi à m’attacher aux personnages, j’ai trouvé que leurs sentiments naissaient trop vite, et surtout : je n’ai pas retrouvé l’humour caractéristique de l’autrice. C’était une bonne lecture sur le coup, mais que j’ai finalement très vite oubliée. Et pourtant, c’était mignon (surtout le personnage de Jack qui cherche absolument à faire les choses bien) et assez profond (on parle notamment de diabète et de santé mentale chez Elsie). Mais il m’a clairement manqué quelque chose – peut-être aussi parce que j’ai trouvé que la dimension scientifique propre aux romans de l’autrice était moins présente que d’habitude et moins bien exploitée… Bref : pas son meilleur livre même s’il est addictif et sans prise de tête !
Ma note
La citation de Love, Theoretically
Je suis une fille simple. J’ai des besoins simples. Tout ce que je demande, c’est de pouvoir passer mes journées à résoudre des équations hydrodynamiques pour calculer le chaos spatio-temporel produit par les nématiques solides actifs.
Ali Hazelwood, Love, Theoretically
Le mot de la fin
C’est la fin de cette mini-chronique expresse ! Mais tu peux toujours aller jeter un œil aux six autres avis que j’ai publiés aujourd’hui… Et on se retrouvera dès samedi pour une nouvelle chronique, un peu plus replète cette fois-ci. Alors, pour être certain⋅e de ne pas passer à côté, je t’encourage chaleureusement à aller t’inscrire à la newsletter (tu seras ainsi averti⋅e par mail dès qu’un nouvel article sera publié sur le blog) ou à venir me retrouver sur Instagram où je publie tous les jours de nouveaux contenus littéraires !
Mais, avant de partir, viens me dire en commentaires si tu as trouvé ce roman d’Ali Hazelwood un peu en-dessous des précédents !
À bientôt pour un nouvel article !
Amandine Stuart
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